Nous savons que les fréquences des résonances de Schumann sont activées par les éclairs.
En allant un peu plus loin, voici un article qui suppose que les éclairs pourraient avoir fourni l’étincelle ayant permis l’émergence de la vie sur Terre.
Nous savons que les fréquences des résonances de Schumann sont activées par les éclairs.
En allant un peu plus loin, voici un article qui suppose que les éclairs pourraient avoir fourni l’étincelle ayant permis l’émergence de la vie sur Terre.
Qu’est-ce que les fréquences de résonance Schumann ?
Voici notre analyse très personnelle des fréquences Schumann, nous ne vous demandons pas d’être pour ou contre, juste d’ouvrir un espace pour accueillir notre expérience de plus de 13 années de proximité avec elle :
Contrairement aux idées véhiculées sur le net, il ne s’agit pas de la fréquence vibratoire de la Terre, ni du pouls de la Terre. La Terre est par essence le principe féminin de la vie sur terre. Elle produit la matière, elle génère tout ce qui va être amené à vivre, mais ce n’est pas elle qui génère ces fréquences.
Les fréquences de résonance Schumann sont activées par les éclairs et se propagent dans l’espace situé entre la croûte terrestre et la ionosphère. La principale hypothèse scientifique des origines de la vie sur Terre, serait due aux éclairs, force et énergie qui en frappant la matière inerte, lui donne la Vie. La Vie elle-même est une succession d’explosion. Pour preuve, sans soleil pas de Vie. Les fréquences de résonances Schumann sont en fait le principe masculin de la vie sur Terre. C’est l’élément fécondant la matière inerte. C’est la rencontre, à la surface de la Terre, entre la matière et l’énergie.
Les sociétés traditionnelles connaissaient ces principes bien avant la science. Tout près de chez nous, en Grèce, la Déesse Gaïa symbolisait ce principe féminin et Zeus le principe masculin par excellence avec son outil Le Foudre. Comment avaient-ils connaissance de cela ? Peut-être en étant plus proche de la Nature ?
Dans les années 80, le Dr. John Zimmermann a mesuré le champ pulsé biomagnétique émanant des mains d’un guérisseur, grâce à un magnétomètre à Squid (Superconducting Quantum Interface Device) et y a décelé une activité moyenne oscillant entre 7 et 8 Hz, sans pouvoir expliquer le moyen d’action.
« Quand son patient souffre d’une lombalgie récalcitrante ou particulièrement intense, le médecin a souvent tendance à lui prescrire un examen par scanner ou par IRM (imagerie par résonance magnétique).
Sauf dans le cas où l’on soupçonne l’existence d’une maladie grave ou d’une lombalgie spécifique, ces technologies sont la plupart du temps inutiles. Tout le monde, ou presque, a en effet une anomalie et même souvent plusieurs. Quand on fait ce genre d’examen, on s’aperçoit que, parmi les individus qui n’ont pas mal au dos, 30 à 40% ont une hernie discale, 25% des déchirures discales et 80% de l’arthrose ou une discopathie.
Les mêmes proportions que parmi les gens qui se plaignent de lombalgie !
L’imagerie médicale n’apporte donc rien de plus que l’examen médical simple, comme l’a d’ailleurs notamment montré une étude suédoise qui a conclu qu’elle n’était utille que dans 1 cas sur 2500 !
Ces investigations peuvent même être contre-productives. Bien loin d’apporter la réponse recherchée et d’expliquer d’où vient le mal de dos, elles ont l’effet pervers de nous inquiéter. Comme dans le cas de cette femme dont les douleurs sont devenues chroniques lorsqu’elle a appris qu’elle avait une hernie discale qui n’avait pourtant aucun rôle dans l’affaire.
En outre, la réalisation d’une imagerie dans les deux premiers mois de la lombalgie augmente la durée de l’arrêt de travail et le risque d’opérations chirurgicales (sans effet bénéfique) et double le nombre de personnes qui ne reprendront jamais le travail. Les effets secondaires de l’imagerie médicale sont donc importants.
Tiré du livre intitulé « Le mal de dos » écrit par Elisabeth Gordon et Stéphane Genevay paru aux Editions Médecine & Hygiène en 2014
Intuitivement, les grecs avaient compris que pour générer la vie il était indispensable d’avoir deux principes actifs.
Le premier, le principe féminin : Gaïa déesse de la terre, qui produisait et engendrait la matière.
Le second , le principe masculin : Zeus qui fécondait cette matière grâce à ses éclairs et leur donnait la vie (eh oui, la foudre ne servait pas qu’à botter les fesses des Titans…)
Observez la qualité et l’harmonie d’un lieu après le passage d’un orage…
La fréquence fondamentale des résonances Schumann a une longueur d’onde égale à la circonférence de la terre et vibre à 7.83 Hz.
D’autres harmoniques l’accompagnent à l’instar de certains instruments de musique.
Elle est activée et dynamisée par les quelques 40 millions d’éclairs qui se produisent chaque année entre la couche terrestre et la ionosphère.